Cesujet contiendra les solutions du jeu Esprit Boom niveau 3106 Moteur que l’on trouve dans une centrale nuclĂ©aire. Pour rappel, le jeu Esprit Boom français propose dans chaque niveau une
Article niveau fin de collĂšge đŸ‘œđŸ‘œđŸ‘œ Note si tu arrives directement sur ce billet, on te conseille de relire les prĂ©cĂ©dents la radioactivitĂ©, d’oĂč elle vient, les risques, la dĂ©couverte de l’Uranium. Dans le prĂ©cĂ©dent article ici, nous t’avons expliquĂ© que dans une centrale nuclĂ©aire, on produisait de la vapeur permettant d’entraĂźner la rotation d’une grande turbine. La vapeur se forme en apportant une grande quantitĂ© de chaleur Ă  de l’eau liquide. Cette chaleur est produite grĂące Ă  des rĂ©actions nuclĂ©aires on provoque la fission d’atomes d’Uranium 235, c’est-Ă -dire la cassure de leur noyau par l’impact d’un neutron. Et tout cela se fait en chaĂźne. En France la technologie s’appelle le REP ou RĂ©acteur Ă  Eau sous Pression on va te montrer aujourd’hui comment tout cela s’organise ! Produire de la vapeur Le but est de faire chauffer de l’eau comme tu peux le faire dans une cocotte minute Ă  la maison. Sauf qu’ici, c’est une cocotte gĂ©ante et que la pression y est beaucoup plus Ă©levĂ©e ; on te conseille de relire ce prĂ©cĂ©dent billet consacrĂ© Ă  la cocotte minute. Cette grande cocotte s’appelle un gĂ©nĂ©rateur de vapeur » et dans une seule tranche* d’une centrale nuclĂ©aire, on trouve 3 ou 4 gĂ©nĂ©rateurs de vapeur cela dĂ©pend de la puissance. * une tranche, c’est toute l’installation contenant un seul rĂ©acteur nuclĂ©aire et une turbine. Dans une centrale nuclĂ©aire française, il y a gĂ©nĂ©ralement plusieurs tranches Ă  un mĂȘme endroit Ă  la centrale de Gravelines, il y a 6 tranches ! Un gĂ©nĂ©rateur de vapeur est donc une enceinte contenant une rĂ©serve d’eau et des tubes en forme de U grĂące auxquels se fait l’échange de chaleur Ă  l’intĂ©rieur de ces tubes, circule de l’eau trĂšs chaude d’un autre circuit d’eau appelĂ© circuit primaire » que nous verrons un peu plus loin. L’eau qui va ĂȘtre transformĂ©e en vapeur circule donc dans un circuit fermĂ©, qu’on appelle circuit secondaire il comprend, dans les grandes lignes, des pompes pour faire circuler l’eau, les gĂ©nĂ©rateurs de vapeur, les conduites pour amener la vapeur jusqu’à la turbine, un condenseur pour condenser la vapeur aprĂšs son passage dans la turbine et des conduites pour ramener cette eau au gĂ©nĂ©rateur de vapeur. Le circuit en bleu est le circuit secondaire. Il contient l’eau qui va se transformer en vapeur Ă  haute pression. AprĂšs passage dans la turbine, la vapeur a moins d’énergie elle s’est refroidie et a perdu en pression. Elle est condensĂ©e en eau ce qui permet de recommencer le cycle. Et hop, retour vers le gĂ©nĂ©rateur de vapeur. La source chaude et le circuit primaire Mais d’oĂč vient la chaleur reçue par l’eau du circuit secondaire ? On l’a dit, elle provient de rĂ©actions nuclĂ©aires ! Les rĂ©actions nuclĂ©aires sont des rĂ©actions qui se produisent au sein d’une partie sensible » de l’installation qu’on appelle le rĂ©acteur ». Et pour rĂ©cupĂ©rer la chaleur dĂ©gagĂ©e par ces rĂ©actions, c’est encore de l’eau qui va ĂȘtre utilisĂ©e il y a d’autres possibilitĂ©s mais dans le cas des REP, c’est de l’eau. On dit que c’est le fluide caloporteur ». Cette eau circule dans un circuit fermĂ© le circuit primaire. Mais attends un peu ! On a parlĂ© de l’uranium, mais comment il se prĂ©sente ? La mise en forme du combustible dans une centrale nuclĂ©aire Dans la filiĂšre REP dont il est question pour tous les rĂ©acteurs français, le cƓur du rĂ©acteur contient le combustible* uranium sous forme d’oxyde d’uranium UO2. Celui-ci est conditionnĂ© en petites pastilles enfermĂ©es dans des gaines mĂ©talliques Ă©tanches, appelĂ©es crayons, faites d’un alliage particulier**. * Le terme combustible est le vocabulaire utilisĂ© pour parler des assemblages d’uranium au sein du rĂ©acteur. Il ne s’agit pourtant pas d’une combustion qui est une rĂ©action chimique. ** Le zirconium a Ă©tĂ© choisi pour sa facultĂ© Ă  laisser passer les neutrons issus de la fission. Les crayons sont ensuite regroupĂ©s en assemblages, eux mĂȘmes disposĂ©s dans une cuve remplie d’eau additionnĂ©e d’une solution particuliĂšre elle contient du bore qui absorbe les neutrons. Le cƓur du rĂ©acteur, c’est l’ensemble des assemblages de combustible. Pour Ă©viter la dissĂ©mination de la radioactivitĂ© particules et rayonnements vers l’extĂ©rieur, plusieurs barriĂšres sont prĂ©vues la gaine mĂ©tallique des pastilles, le circuit primaire la cuve et une enceinte en bĂ©ton qui recouvre le tout. Lorsqu’on veut arrĂȘter le rĂ©acteur, un systĂšme est activĂ© il permet de plonger des barres faites en un matĂ©riau qui absorbe les neutrons. Les rĂ©actions s’arrĂȘtent ! Le combustible dans le rĂ©acteur. Les 3 barriĂšres pour confiner la radioactivitĂ© – la gaine mĂ©tallique des pastilles, – le circuit primaire en orange, – l’enceinte en bĂ©ton en forme de dĂŽme reprĂ©sentĂ© en noir Le circuit primaire contient le combustible dans le rĂ©acteur et la cuve de l’eau qui circule en circuit fermĂ© et s’échauffe Ă  plus de 300 °C par son passage dans la cuve autour du combustible elle rĂ©cupĂšre l’énergie produite par les rĂ©actions nuclĂ©aires, les pompes primaires qui mettent l’eau en circulation un pressuriseur qui rĂšgle la pression Ă  une valeur Ă©levĂ©e 150 bar environ soit plus de 150 fois la pression atmosphĂ©rique cela pour s’assurer que l’eau soit liquide Ă  la tempĂ©rature de 300°C au sein de la cuve les gĂ©nĂ©rateurs de vapeur contenant plus de 3000 tubes en U. L’eau du circuit primaire circule Ă  l’intĂ©rieur des tubes en U, et l’eau alimentaire du circuit secondaire circule Ă  l’extĂ©rieur l’eau du circuit primaire cĂšde sa chaleur Ă  l’eau du secondaire. REP avec 3 gĂ©nĂ©rateurs de vapeur configuration de la centrale de Gravelines En rĂ©sumĂ© On peut donc dĂ©sormais prĂ©senter un schĂ©ma explicatif complet d’une centrale Ă  REP avec tous les circuits Trois circuits indĂ©pendants et fermĂ©s assurent le bon fonctionnement d’une centrale nuclĂ©aire REP le circuit primaire, oĂč de l’eau sous pression circule en circuit fermĂ© autour du combustible de façon Ă  extraire l’énergie produite par les rĂ©actions nuclĂ©aires, le circuit secondaire, indĂ©pendant du premier lĂ  oĂč se forme la vapeur cheminant vers la turbine ainsi la vapeur formĂ©e n’est pas en contact avec le cƓur et ne contient aucune radioactivitĂ©. le circuit de refroidissement permettant la condensation de la vapeur aprĂšs son passage dans la turbine ce circuit est de l’eau venant d’une riviĂšre*, ou de la mer qui circule dans des tubes au niveau du condenseur et le refroidit. * L’eau de la riviĂšre est alors elle-mĂȘme refroidie au sein d’un rĂ©frigĂ©rant atmosphĂ©rique on t’en avait parlĂ© ici. Est-ce que c’est dangereux ? La question de la sĂ»retĂ© des installations et celle de la gestion des dĂ©chets le combustible qui a sĂ©journĂ© dans le rĂ©acteur est qu’on ressort lorsqu’il est usĂ© » restent des prĂ©occupations fortes, pour lesquelles des rĂ©ponses existent et mĂ©ritent un approfondissement. Nous reviendrons sur la gestion des dĂ©chets et de la sĂ©curitĂ© un peu plus tard voir le billet sur Tchernobyl ici Auteur Pascale BaugĂ© du blog Le Monde et Nous
Leremorquage [nĂ©cessaire car la centrale est installĂ©e sur une barge dĂ©pourvue de moteur] prendra entre dix-huit et vingt jours et coĂ»tera 475 millions de roubles [6,5 millions d’euros]. La centrale nuclĂ©aire flottante (le rĂ©acteur flottant pour ĂȘtre exact) a contournĂ© la Scandinavie, passant au large de l’Estonie, de la Finlande, de la SuĂšde, du Danemark et de la PubliĂ© le 02/05/2012 Ă  0925 , mis Ă  jour Ă  1008 Un militant de l'organisation Ă©cologiste Greenpeace s'est introduit, ce mercredi, dans la centrale nuclĂ©aire de Bugey, dans l'Ain, Ă  l'aide d'un paramoteur. L'homme a Ă©tĂ© interpellĂ©. Il s'agit de la troisiĂšme incursion dans une centrale nuclĂ©aire française en moins de six mois. "Un militant de Greenpeace est arrivĂ© avec un paramoteur vers 7H40 du matin. Il a survolĂ© la centrale, lancĂ© un fumigĂšne puis a atterri Ă  l'intĂ©rieur oĂč il a Ă©tĂ© interpellĂ©", a dĂ©clarĂ© le colonel Aubanel, commandant le groupement de gendarmerie dĂ©partementale de l'Ain. Pour Sophia Majnoni, chargĂ©e des questions nuclĂ©aires au sein de Greenpeace France, "l'objectif de cette action est d'adresser un message aux deux candidats Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle qui nient le risque du nuclĂ©aire. On voulait illustrer une agression externe, type chute d'avion". Selon une porte-parole de l'EDF, qui ne confirme pas qu'il s'agit de militants de l'organisation Ă©cologiste, "un ULM avec une personne Ă  l'intĂ©rieur et une autre Ă  l'extĂ©rieur du site pour la guider", s'est bien introduit Ă  l'intĂ©rieur de la centrale de Bugey dans l'Ain. En dĂ©cembre dernier, des militants de Greenpeace qui voulaient illustrer les failles de la sĂ©curitĂ© des installations nuclĂ©aires avaient rĂ©ussi Ă  pĂ©nĂ©trer dans les centrales de Nogent-sur-Seine, dans l'Aube, et de Cruas, en ArdĂšche. France La sĂ©curitĂ© renforcĂ©e dans les centrales nuclĂ©aires Equipes cynophiles, Taser pour les gendarmes, nouvelles camĂ©ras le ministre de l'IntĂ©rieur Claude GuĂ©ant a profitĂ© hier d'une visite Ă  la centrale nuclĂ©aire de Chinon pour annoncer un renforcement des mesures de sĂ©curitĂ© dans ces... PubliĂ© le 07 Janvier 2012 Energie-Environnement Des militants de Greenpeace pĂ©nĂštrent dans plusieurs centrales nuclĂ©aires Des militants de Greenpeace se sont introduits dans plusieurs centrales nuclĂ©aires de France hier, pour prouver qu'elles n'Ă©taient pas inviolables. L'opĂ©ration met le gouvernement mal Ă  l'aise. Le nuclĂ©aire sĂ»r n'existe pas ». C'est ce qu'ont voulu prouver des militants de Greenpeace qui ont... PubliĂ© le 06 DĂ©cembre 2011 Cequ'il faut retenir sur le fonctionnement d'une centrale nuclĂ©aire. Les centrales nuclĂ©aires utilisent la fission de l’uranium pour produire l’électricitĂ©, une rĂ©action nuclĂ©aire qui peut avoir Cette fin de semaine, la centrale nuclĂ©aire de Zaporijjia en Ukraine s'est une nouvelle fois retrouvĂ©e sous les tirs. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU a qualifiĂ© ce lundi de suicidaire » toute attaque contre des centrales nuclĂ©aires et a appelĂ© Ă  l'arrĂȘt des opĂ©rations militaires autour de Zaporijjia, afin que l'Agence internationale de l'Ă©nergie atomique AIEA puisse y accĂ©der. Russes et Ukrainiens se renvoient la balle. Toute attaque contre des centrales nuclĂ©aires est suicidaire », a martelĂ© le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies Antonio Guterres, lors d'une confĂ©rence de presse Ă  Tokyo ce lundi Une visite dans le cadre de la commĂ©moration des bombardements nuclĂ©aires amĂ©ricains sur le Japon, en aoĂ»t 1945. Personne, personne ne peut accepter l'idĂ©e qu'une nouvelle guerre nuclĂ©aire puisse se produire Antonio Guerres, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies Nous sommes Ă  un moment oĂč le risque d'une confrontation nuclĂ©aire est de retour» RFI Depuis plusieurs jours, le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l'ONU ne cesse d'alerter sur les risques nuclĂ©aires sur l'humanitĂ© qui n'est qu'Ă  un malentendu » ou une erreur de jugement » de l' anĂ©antissement nuclĂ©aire », a-t-il mis en garde le 1er aoĂ»t dans un discours Ă  New York. Le 6 aoĂ»t, Ă  l'occasion du 77e anniversaire du bombardement atomique Ă  Hiroshima, il a estimĂ© que l'humanitĂ© jouait avec un pistolet chargĂ© » dans le contexte des crises actuelles Ă  connotation bombardements cette fin de semaineEn Ukraine, la centrale de Zaporijjia a Ă©tĂ© encore la cible de tirs vendredi et samedi, Russes et Ukrainiens s'accusant mutuellement de ces bombardements. Les autoritĂ©s russes d'occupation de la ville d'Energodar, oĂč se trouve la centrale ont ainsi affirmĂ© que l'armĂ©e ukrainienne avait tirĂ© dans la nuit de samedi Ă  dimanche un engin Ă  sous-munitions avec un lance-roquettes multiple Ouragan ». Les Ă©clats et le moteur de la roquette sont tombĂ©s Ă  400 mĂštres d'un rĂ©acteur en marche », ont-elles poursuivi, ajoutant que cette frappe avait endommagĂ© » des bĂątiments administratifs et touchĂ© une zone de stockage de combustible nuclĂ©aire usagĂ© ». Le ministĂšre russe de la DĂ©fense assure ce lundi que cette derniĂšre frappe, dans la nuit de samedi Ă  dimanche, a endommagĂ© une ligne Ă  haute tension fournissant de l'Ă©lectricitĂ© Ă  deux rĂ©gions ukrainiennes.â–ș À lire aussi en Ukraine, frappes prĂšs d'un rĂ©acteur nuclĂ©aire, dĂ©part de trois cargos chargĂ©s de cĂ©rĂ©alesLe patron de l'agence nuclĂ©aire ukrainienne Energoatom, Petro Kotine, a pour sa part appelĂ© lundi Ă  dĂ©loger les occupants russes et Ă  crĂ©er une zone dĂ©militarisĂ©e » sur le site de la compagnie d'État ukrainienne a annoncĂ© qu'un des employĂ©s sur place avait dĂ» ĂȘtre hospitalisĂ© pour des blessures causĂ©es par l'explosion » d'une des roquettes tirĂ©es samedi soir par les Russes. Trois dĂ©tecteurs de surveillance des radiations autour du site de la centrale ont Ă©tĂ© endommagĂ©s .... Par consĂ©quent, il est actuellement impossible de dĂ©tecter » une Ă©ventuelle hausse de la radioactivitĂ© et donc d' intervenir en temps utile », a-t-elle ajoutĂ©. Zaporijia, la plus grande centrale nuclĂ©aire d'Europe La centrale est situĂ©e dans le sud de l’Ukraine, au bord du fleuve Dniepr. D’une capacitĂ© totale de 6 000 mĂ©gawatts, elle fournit 20% des besoins en Ă©lectricitĂ© du il y a 37 ans, elle est composĂ©e de 6 rĂ©acteurs. La construction du premier a commencĂ© en 1979, alors que l'Ukraine faisait partie de l'Union soviĂ©tique et le dernier a Ă©tĂ© achevĂ© en 1995. La conception de ces rĂ©acteurs Ă  eau pressurisĂ©e, est considĂ©rĂ©e comme Ă©tant parmi les plus sĂ»res ils sont plus modernes que ceux de la centrale de Tchernobyl dont l'un des rĂ©acteurs a explosĂ© en avril 1986, entraĂźnant l'arrĂȘt de la comme la plus grande centrale du continent europĂ©en, Zaporijia est donc un vrai monstre nuclĂ©aire. En mars dernier, le ministre ukrainien des Affaires Ă©trangĂšres a averti que si la centrale explosait Ă  cause des bombardements, les effets seraient dix fois pires que ceux de l'accident de Tchernobyl. Celui-ci est le plus grave de l'histoire de l'industrie Ă©lectronuclĂ©aire civil. Il est de niveau 7, le plus haut niveau de l'Ă©chelle internationale INES International nuclear event scale. InquiĂ©tude de l'AIEAL'Agence internationale pour l'Ă©nergie atomique AIEA a jugĂ© samedi de plus en plus alarmantes » les informations en provenance de la centrale de Zaporijjia, dont l'un des rĂ©acteurs a dĂ» ĂȘtre arrĂȘtĂ© aprĂšs l'attaque de vendredi. J'espĂšre que ces attaques prendront fin. En mĂȘme temps, j'espĂšre que l'AIEA pourra accĂ©der Ă  la centrale » de Zaporijjia, a encore lancĂ© ce lundi matin Antonio Guterres. â–ș À lire aussi Situation tendue Ă  la centrale nuclĂ©aire de Zaporijjia entre militaires russes et personnel ukrainienet avec agences
Hier les autorités françaises ont été informées de l'événement une explosion dans une centrale nucléaire dans la ville de Flamanville. Comme toujours avec ce type d'événement, l'alarme a retenti, mais finalement il semble que tout est sous contrÎle. Pour le moment, on sait que seulement cinq personnes ont été intoxiquées en raison de l'inhalation de fumée, bien que son
Le principe de fonctionnement d’un moteur asynchrone se base sur un champ magnĂ©tique tournant. Ce dernier est produit par des tensions alternatives. Lorsqu’un courant circule dans une bobine, cela crĂ©e un champ magnĂ©tique. L’axe de la bobine porte ce champ, il a une direction et une intensitĂ© qui dĂ©pendent du courant. Dans le cas d’un courant alternatif, le champ aura la mĂȘme frĂ©quence du va varier en sens et en direction avec le champ. Lorsque on place deux bobines Ă  proximitĂ© l’une de l’autre, on aura un champ rĂ©sultant qui est la somme vectorielle des deux champs. Pour un moteur triphasĂ©, On dĂ©pose les bobines dans le stator avec un angle de 120° les unes des autres, alors nous allons avoir trois champs . En prenant en compte la nature du courant triphasĂ©, on va avoir dĂ©phasage de trois champs . Donc le champ magnĂ©tique rĂ©sultant va tourner avec la mĂȘme frĂ©quence que le courant la valeur est Ă©gale Ă  50tr/s. Parmi les moteurs les plus utilisĂ© dans l’industrie est le moteur asynchrone. Il est peu coĂ»teux, mais on le fabrique en grande sĂ©rie. Ses caractĂ©ristiques robustes et un entretien trĂšs limitĂ©. Pendant son fonctionnement, il ne gĂ©nĂšre pas d’étincelles par rapport Ă  un moteur Ă  courant continu. Ce type de moteur est utilisĂ© dans la plupart des machines classiques dans le domaine industriel tapis roulants, fraiseuses, 
. Force de Laplace Pour comprendre le fonctionnement de ce moteur, on a un conducteur Ă©lectrique a un longueur L, qui va ĂȘtre soumis Ă  un champ magnĂ©tique et il le traverse un courant, il est subit Ă  une force Ă©lectromagnĂ©tique F qu’on l’appelle la force de Laplace pour savoir le sens il faut utiliser la rĂšgle de la main droite qui tend Ă  le mettre en mouvement. F= F en newtons I en ampĂšres l en mĂštre B en tesla α l’angle entre le fil et la direction du champ. Les Constitutions et le principe de fonctionnement du moteur Ce moteur a 2 parties distinctes le stator et le rotor. On appelle l’espace entre le stator et le rotor est l’entrefer. Le stator est la partie fixe du moteur Il constitue de 3 bobines. Ils sont parcourus par un courant alternatif qui possĂšde un nombre de paires de pĂŽles. Le champ magnĂ©tique tournant Ă  la vitesse de synchronisme est créé par les courants alternatifs dans le stator ns=f/p ns vitesse de synchrone de rotation en tr/s. f frĂ©quence en Hz = en rad/s Le rotor est soumis Ă  un champ tournant. Il gĂ©nĂšre ce qu’on appelle des courants induits qui subit Ă  la loi de Lenz, s’opposent Ă  une rotation qui entraĂźnent la rotation du rotor .Il le mĂȘme sens de la vitesse frĂ©quence n. Remarque la vitesse est toujours lĂ©gĂšrement infĂ©rieure Ă  s. La partie mobile du moteur est le rotor n’est reliĂ© Ă  aucune alimentation. Il y’a deux types de rotor. Le Rotor Ă  cage d’écureuil Il est livrĂ© avec un jeu de tiges conductrices, gĂ©nĂ©ralement en aluminium, placĂ©es dans un empilement de tĂŽles. Les extrĂ©mitĂ©s de la tige sont reliĂ©es par deux anneaux conducteurs. La rĂ©sistance du rotor Ă  cage d’écureuil est trĂšs faible on dit qu’il s’agit d’un court-circuit. Le rotor bobinĂ© Le rotor prĂ©sente une rainure dans laquelle se loge les forment le bobinage triphasĂ©. Les bobinages peuvent se contacter gĂ©nĂ©ralement ĂȘtre par 3 bagues et 3 balais, de sorte que les caractĂ©ristiques de la machine peuvent se couplage sur le rĂ©seau On trouve sur la plaque signalĂ©tique une indication de la tension exemple 127V / 230V. Cela veut dire que quel que soit le rĂ©seau, l’enroulement doit supporter la tension correspondant Ă  la valeur la plus basse indiquĂ©e dans l’exemple est 127V qui correspond Ă  une vitesse nominale. Alors en fonction du rĂ©seau, il faut faire un couplage appropriĂ©. Le branchement Un moteur triphasĂ© possĂšde 3 enroulements. On les relie Ă  six bornes U1, V1, W1 et U2, V2, W2 .Le positionnement de 3 barrettes nous permet l’alimentation du moteur sous 2 tensions diffĂ©rentes. Calcul du glissement ns vitesse de synchronisme au niveau du champ tournant tr/s n vitesse de rotation du moteur au niveau rotor tr/s ng vitesse reliĂ© au glissement tr/s et on aussi ng=ns-n Calcul ng=g*ns soit fg=g*f=fr Le bilan de puissance d’un moteur asynchrone La puissance active et rĂ©active Pa= √3*U*I*cosalpha , Qa= √3*U*I*sinalpha La puissance absorbĂ©es S=√3*U*I Elle est transmise au rotor par ce qu’on applelle le couple Ă©lectromagnĂ©tique Ptr La puissance transmise = P – Pfs – Pjs = Tems Tem moment du couple Ă©lectromagnĂ©tique en Nm. s c’est la vitesse angulaire de synchronisme en rad/s avec Les pertes par effet joule qui sont localisĂ©es au niveau du stator ,supposons que r est la rĂ©sistance d’une phase au niveau du stator Pour un couplage Ă©toile PJs = 3*r*I*I Pour le couplage triangle PJs = 3rJ*J Supposons que R est la rĂ©sistance entre une phase du stator couplĂ© et une intensitĂ© en ligne donc PJs = 3 /2*R*I*I La puissance mĂ©canique totale PM Le rotor est entrainĂ© Ă  une vitesse par le couple Ă©lectromagnĂ©tique de moment Tem. Il a ne relation avec la puissance mĂ©canique totale PM. PM=Tem* , soit PM=Tem* =Ptr/ s* =Ptr*1-g PM =Ptr*1-g contient la puissance utile et les pertes mĂ©caniques Les Pertes joules et les pertes fer au rotor Pjr=gPtr on nĂ©glige les pertes fer du rotor. Les pertes collectives Ils dĂ©pendent de U, f et n qui sont constantes il contient les pertes fer au stator et les pertes mĂ©caniques. Le Couple de perte C’est est une grandeur constante quelle que soit la valeur de vitesse et la charge de la machine. Tc=Pc/ s. La puissance utile Le calcul du rendement Le fonctionnement Ă  vide Un moteur Ă  vide, il n’entraĂźne aucune charge. Alors On utilise un essai Ă  vide pour dĂ©terminer les pertes collectives. Le fonctionnement du moteur asynchrone en charge On parle d’une charge rĂ©sistive lorsque l’arbre moteur entraĂźne une charge qui s’oppose au sens de rotation du rotor. Dans le cas d’un rĂ©gime permanent, le couple moteur et le couple rĂ©sistant sont Ă©gaux Tu=Tr Remarque Le moteur asynchrone peut dĂ©marrer en charge. On dĂ©finit Le point de fonctionnement comme l’intersection entre la courbe qui caractĂ©rise le couple rĂ©sistant et de la courbe de la caractĂ©ristique mĂ©canique du moteur . Le point de fonctionnement T ; n va nous permettre de calculer le glissement et la puissance utile du moteur. DĂ©marrage direct d’un moteur asynchrone Lorsqu’on alimente le moteur sous une tension, cela va produire l’appel Ă  un courant ID au niveau du rĂ©seau trĂšs important 4 Ă  8In. Elle peut provoquer des chutes de tension c’est ce qu’on l’appelle un n dĂ©marrage direct. On l’utilise lorsque le courant ne perturbe pas le rĂ©seau. La figure suivante montre le dĂ©marrage direct du moteur en 2 sens de marche DĂ©marrage Ă©toile-triangle d’un moteur asynchrone Le principe de ce dĂ©marrage est de coupler le stator en Ă©toile pendant la durĂ©e du dĂ©marrage, puis passer au couplage triangle. On le divise en gĂ©nĂ©rale en 2 Ă©tapes 1Ăšre Ă©tape on commence en Ă©toile, chaque enroulement reçoit est sous tension 3 fois petit Ă  sa tension nominale. Par ConsĂ©quence on a l’intensitĂ© absorbĂ©e est se divise par trois. 2Ăšme Ă©tape pour ne durĂ©e de 2 Ă  3 secondes aprĂšs, on passe en triangle. InconvĂ©nient on a le couplage au dĂ©marrage se divise par 3. Ce procĂ©dĂ© est possible si seulement si le moteur est conçu pour travailler en couplage triangle sous la tension qui se compose au niveau du rĂ©seau. Ce dĂ©marrage convient aux machines qui ont une puissance infĂ©rieure Ă  50KW dĂ©marrĂ© Ă  vide. DĂ©marrage rotorique d’un moteur asynchrone Ce dĂ©marrage est en voie de disparition. Il est parmi les meilleurs choix au niveau Ă©conomique Ă©tant le variateur de type Ă©lectronique. La plaque signalĂ©tique d’un moteur asynchrone Le moteur asynchrone monophasĂ© Lorsqu’on alimente deux bobines et on les branche en sĂ©rie sans oublier d’en respecter le sens des enroulements en assurant un courant alternatif monophasĂ© avec une frĂ©quence 50 Hz, alors on va crĂ©er entre les bobines un champ qui est de type alternatif avec la mĂȘme frĂ©quence. On trouve dans ce champ une aiguille placĂ©e qui vibre mais il ne tourne pas. Supposons qu’on la lance dans un sens bien dĂ©terminĂ©e ou bien dans l’autre, alors elle va tourner avec une frĂ©quence de synchronisme. Avec deux phases, il est possible que le moteur tourne avec un tel un sens ou bien l’autre. A cause de cela il va trouver du mal pour dĂ©marrer tout seul. Alors Il faut ajouter un dispositif qui va lui permettre de dĂ©marrer dans un sens. Il s’agit reprĂ©sentĂ© comme un enroulement ou bien spire auxiliaire. Varier la vitesse d’un moteur asynchrone La vitesse de synchronisation ns dĂ©pend de la frĂ©quence fs du courant statorique. Puisque la vitesse n » est trĂšs raprochĂ© de la vitesse de synchronisme, pour varier la vitesse du moteur, il faut tout simplement changer la frĂ©quence fs. En gardent la valeur du couple utile, pour varier la vitesse ,il faut se concentrer sur le rapport Vs/fs constante. Si vous souhaitez augmenter la vitesse, vous devez augmenter la frĂ©quence et la tension d’alimentation dans la plage de fonctionnement correct de la machine. Nous avons obtenu le rĂ©seau caractĂ©ristique. La zone utile est un ensemble de segments de droite parallĂšles. Techniquement, cela permet de trĂšs bons rĂ©glages de vitesse. Les caractĂ©ristiques T=fn du moteur asynchrone pour quelques charges Le modĂšle Ă©quivalent d’un moteur asynchrone Il est important de se souvenir Ă  l’avance de l’expression de la frĂ©quence du courant induit rotorique fr=g*f. Un moteur asynchrone se compose de 2 ensembles de bobinages triphasĂ©s se localisent sur le mĂȘme circuit magnĂ©tique. Par analogie, on peut le considĂ©rer comme Ă©quivalent Ă  un transformateur triphasĂ© Ă  l’arrĂȘt. Sur la figure suivante, on reprĂ©sente le schĂ©ma monophasĂ© Ă©quivalent trouvĂ© par l’analogie avec le transformateur et le schĂ©ma synoptique. Nous avons remarquĂ© les Ă©lĂ©ments de dĂ©faut classiques sur cette image la rĂ©sistance sĂ©rie des enroulements primaire et secondaire, ainsi que l’inductance de fuite. D’autre part, nous exprimons le transformateur Ă©quivalent comme une simple inductance mutuelle entre deux primaire et secondaire. Nous devons bien savoir que, lorsque le moteur tourne, les frĂ©quences des courants et des tensions au primaire et au secondaire du transformateur ne sont pas Ă©gaux. Pour construire un schĂ©ma Ă©quivalent simple en pratique, on fait de la division de l’équation de maille a niveau du secondaire par le glissement g, cela va produire ce qu’on appelle une inductance de fuite Ă©quivalente Ă  la frĂ©quence f. On peut considĂ©rer que les frĂ©quences du primaire et du secondaire sont identiques. On va prendre alors le schĂ©ma monophasĂ© Ă©quivalent suivant Rf est la rĂ©sistance Ă©quivalente aux pertes fer. Lm est l’inductance magnĂ©tisante. R1 RĂ©sistance des conducteurs statoriques. L c’est l’inductance qui reprĂ©sente la fuite au niveau du primaire. R’2/g est dĂ©finiĂ© comme la rĂ©sistance Ă©quivalente aux conducteurs rotoriques au niveau du stator. Enfin,je vous invite de lire aussi sur notre site Empreinte digitale avec Arduino pour l’ouverture de porte Automatisation et instrumentation industrielle -Explication simple Capteur de pression Principe de fonctionement et technologie ï»żCest Ă©galement dans la citĂ© phocĂ©enne que l’on retrouve le siĂšge de ONET Technologies. ONET Technologies est une ETI, une Entreprise de taille intermĂ©diaire, filiale du groupe ONET, groupe familial marseillais, indĂ©pendant et spĂ©cialisĂ© dans les services depuis 160 ans. ONET Technologies est un acteur majeur dans les secteurs de l’ingĂ©nierie et des services
Cette premiĂšre mondiale devrait permettre selon ses promoteurs de recycler des combustibles usĂ©s. Nous avons tous encore en tĂȘte les images de chaos Ă  la centrale nuclĂ©aire de Fukushima au Japon aprĂšs le tremblement de terre et le tsunami. Aujourd'hui, Ă  l'Institut Von Karman de Rhode-Saint-GenĂšse, des ingĂ©nieurs essaient de reproduire l'effet de ce tremblement de terre sur un modĂšle rĂ©duit. La simulation de ce qui passe Ă  l'intĂ©rieur d'un rĂ©acteur dans le liquide de refroidissement pendant les secousses est impressionnante. Philippe Planquart, l'ingĂ©nieur responsable du projet Ă  l'Institut Von Karman explique que l'on peut ainsi rajouter des Ă©lĂ©ments dans le rĂ©acteur ou formuler des recommandations pour modifier le design et tester pour diminuer les dĂ©placements de la surface du liquide qu'on peut observer pendant le test. En clair, on cherche ici Ă  amĂ©liorer la structure pour contrecarrer l'apparition de ces grosses vagues qui peuvent mettre en danger la sĂ©curitĂ© de ce rĂ©acteur. Dans une autre reproduction miniature, on perturbe le liquide de refroidissement et on en visualise les turbulences. Les zones de hautes tempĂ©ratures en particulier sont Ă  Ă©viter, car elle peuvent dĂ©tĂ©riorer les matĂ©riaux. Chiara Spaccapaniccia, ingĂ©nieure et doctorante Ă  l'Institut Von Karman nous donne les raisons de ces tests "Avant de construire le rĂ©acteur il faut dĂ©montrer qu'en matiĂšre d'hydraulique, il marche bien, dit-elle, donc, qu'il n'y a pas trop de rĂ©sistance Ă  l'Ă©coulement et que l'Ă©coulement est capable d'enlever la chaleur produite par le coeur." Tests en modĂšle rĂ©duit inĂ©dits dans le nuclĂ©aire belge ExpĂ©rimenter des Ă©vĂ©nements extrĂȘmes comme des sĂ©ismes Ă  petite Ă©chelle avant mĂȘme de concevoir le vrai rĂ©acteur, c'est nouveau et mĂȘme complĂštement inĂ©dit dans le domaine nuclĂ©aire belge. Mais le rĂ©acteur que l'on teste ici, est trĂšs loin d'ĂȘtre ordinaire. Ce n'est pas celui que l'on trouve dans nos centrales nuclĂ©aires. Myrrha, c'est son nom, c'est le premier prototype mondial de rĂ©acteur de nouvelle gĂ©nĂ©ration. Contrairement Ă  ce qui se passe dans nos rĂ©acteurs actuels, il est trĂšs facile Ă  arrĂȘter, il dispose d'un accĂ©lĂ©rateur, pour l'allumer et l'Ă©teindre, sorte d'interrupteur marche/arrĂȘt. Plus sĂ»r, plus facile Ă  utiliser et Ă  contrĂŽler, il serait aussi beaucoup plus efficace... Et ce n'est pas tout, ajoute Hamid Ait Abderrahim, le directeur gĂ©nĂ©ral adjoint du Centre d'Ă©tude de l'Ă©nergie nuclĂ©aire de Mol "On a besoin d'aucun Ă©lĂ©ment que ce soit un moteur ou une pompe qui aurait besoin d'une Ă©nergie extĂ©rieure, pour refroidir le rĂ©acteur.. Donc, ... avec une source chaude en bas et une source froide en haut, la diffĂ©rence de tempĂ©rature va faire que le liquide va circuler de lui-mĂȘme." Pas de problĂšme donc en cas de panne d'Ă©lectricitĂ©. Enfin, cerise sur ce gĂąteau nuclĂ©aire, le petit nouveau permettrait aussi de rĂ©duire la dangerositĂ© de certains de nos dĂ©chets radioactifs les plus toxiques, en diminuant leur durĂ©e de vie de Ă  300 ans, ajoute Hamid Ait Abderrahim. Solution miracle pour des dĂ©chets radioactifs? Une solution miracle vraiment pour ces encombrants dĂ©chets? Ce n'est pas du tout l'avis de Jan Vande Putte spĂ©cialiste du nuclĂ©aire chez Greenpeace "On va crĂ©er des dĂ©chets secondaires parce que si on commence Ă  dĂ©truire physiquement ces dĂ©chets, puis les dissoudre dans des acides, etc. On va produire des volumes plus important encore. le retraitement augmente le volume de radioactivitĂ©." Autrement dit, les dĂ©chets seront plus nombreux et il sera encore plus difficile de s'en dĂ©barrasser. Pour Greenpeace, il faudrait investir autrement dans la recherche nuclĂ©aire et notamment dans le traitement dĂ©finitif des dĂ©chets radioactifs dĂ©jĂ  produits. Entre innovation, communication bien rĂ©glĂ©e et rĂ©els bĂ©nĂ©fices pour notre avenir, la seule certitude c'est que cet ambitieux projet europĂ©en devrait coĂ»ter prĂšs 960 millions d'euros dont 40% pris en charge par la Belgique. Pascale Bollekens
. 366 266 249 359 308 258 151 130

moteur que l on trouve dans une centrale nucléaire