Tuseras un homme mon fils. Magnifique poÚme écrit par Rudyard Kipling duquel je vous propose 2 versions audio (en slam). La premiÚre surtout pour ses images et la seconde est un superbe slam à deux voix et en deux langues (français et italien) par Grand Corps Malade et I Muvrini. Par ailleurs, je vous recommande vivement de découvrir la version publiée dans le
Articles Ă©tiquetĂ©s comme “Tu seras un homme mon fils Ă  imprimer” Tu seras un homme mon fils texte et analyse du poĂšme de Kipling Tu seras un homme mon fils texte et analyse du poĂšme de Kipling 16 fĂ©vrier 2021 5 Tu seras un homme mon fils texte et analyse du poĂšme If de Rudyard Kipling. Tu seras un homme mon fils est

Trouvezvous de meilleur mon fils poÚme 2022? Il est temps de passer aux choses sérieuses avec notre test et comparatif. Il est temps de passer aux choses sérieuses avec notre test et comparatif. Nous avons compilé plus des 7572 critiques des experts dans cette domaine.
Aujourd’hui nous allons Ă  la dĂ©couverte d’un poĂšme cĂ©lĂšbre et trĂšs touchant Ă©crit par un poĂšte du XXĂšme siĂšcle. Beaucoup le connaissent dĂ©jĂ , d’autres peut-ĂȘtre pas encore, mais une seule chose de sĂ»re est que chaque vers, chaque strophe de ce magnifique poĂšme que je qualifierai de chef-d’Ɠuvre inspire, ressource, Ă©meut, transperce, renforce, forge, apprend, comprend, cadre parfaitement avec le caractĂšre humain, la dĂ©finition mĂȘme de ce qu’est l’homme et de ce qu’il est appelĂ© Ă  ĂȘtre
 Si, en anglais If—, est un poĂšme de Rudyard Kipling, Ă©crit en 1895, et publiĂ© en 1910 dans Rewards and Fairies. Il lui a Ă©tĂ© inspirĂ© par le raid Jameson. Évocation de la vertu britannique de l’ùre victorienne, comme Invictus de William Ernest Henley vingt ans plus tĂŽt, ce poĂšme est rapidement devenu trĂšs cĂ©lĂšbre. Deux de ses vers sont notamment reproduits Ă  l’entrĂ©e des joueurs du court central de Wimbledon. C’est l’adaptation d’AndrĂ© Maurois dans son livre Les Silences du colonel Bramble publiĂ© en 1918 sous le titre Tu seras un homme, mon fils qui est la version la plus connue du poĂšme en France. Soucieux de maintenir la puretĂ© de la langue et de rester fidĂšle au sens plutĂŽt qu’à la lettre des textes, Maurois a Ă©crit une version se composant de vers parfaitement rĂ©guliers et sans rime approximative qui reprend l’idĂ©e fondamentale du poĂšme de Kipling tout en ne traduisant directement que quelques vers. Le 14 juin 1940, Paul Rivet placarde le poĂšme sur les portes du musĂ©e de l’Homme, en signe de rĂ©sistance Ă  l’occupant allemand. Le poĂšme a connu d’autres traductions françaises et adaptations Ă©galement. TU SERAS UN HOMME, MON FILS Si tu peux voir dĂ©truit l’ouvrage de ta vieEt sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir,Ou perdre en un seul coup le gain de cent partiesSans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’amour,Si tu peux ĂȘtre fort sans cesser d’ĂȘtre tendre,Et, te sentant haĂŻ, sans haĂŻr Ă  ton tour,Pourtant lutter et te dĂ©fendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes parolesTravesties par des gueux pour exciter des sots,Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches follesSans mentir toi-mĂȘme d’un mot ; Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire,Si tu peux rester peuple en conseillant les rois,Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre,Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©diter, observer et connaĂźtre,Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre,Penser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ; Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage,Si tu peux ĂȘtre brave et jamais imprudent,Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage,Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ; Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faiteEt recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front,Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘteQuand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la VictoireSeront Ă  tous jamais tes esclaves soumis,Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la GloireTu seras un homme, mon fils. Rudyard Kipling, nĂ© Ă  Bombay, en Inde britannique, le 30 dĂ©cembre 1865 et mort Ă  Londres, le 18 janvier 1936, est un Ă©crivain britannique. En 1907, il est le premier auteur de langue anglaise Ă  recevoir le prix Nobel de littĂ©rature, et le plus jeune Ă  l’avoir reçu Ă  42 ans. J’espĂšre que cette petite immersion vous a plu. N’hĂ©sitez pas Ă  donner vos avis et impressions en commentaire dans l’attente d’un nouvel article encore plus Ă©difiant. De tout mon cƓur !
Entredeux infinis tu nous tiens suspendus, Que ta voix, pĂ©nĂ©trant en leurs fibres intimes, Frappe Ă  cris redoublĂ©s sur nos coeurs Ă©perdus, Tu crois que tu n'as plus dans ton ardeur fĂ©brile, Tant dĂ©jĂ  tu nous crois Ă©branlĂ©s, abĂȘtis, Qu'Ă  dĂ©voiler la Foi, monstrueuse et stĂ©rile, Pour nous voir sur son sein tomber anĂ©antis. Kipling a Ă©crit ce poĂšme Ă  l'attention de son unique fils, John, ĂągĂ© alors de 13 ans en 1910. Ce dernier meurt lors de son premier assaut, durant l'attaque de Chalk Pit Wood Ă  la bataille de Loos en 1915. Son corps ne fut pas retrouvĂ©. Jusqu'Ă  sa mort en 1936, Rudyard Kipling procĂ©da Ă  des fouilles dans la rĂ©gion pour retrouver les preuves de sa mort ou sa dĂ©pouille de son fils. Il inventa l'inscription qui figure sur la tombe des soldats inconnus britanniques "Known unto God" Connu seul de Dieu. En 1991, la tombe du lieutenant John Kipling fut enfin identifiĂ©e de maniĂšre concluante... Si Si tu peux voir dĂ©truit l'ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d'amour, Si tu peux ĂȘtre fort sans cesser d'ĂȘtre tendre, Et, te sentant haĂŻ, sans haĂŻr Ă  ton tour, Pourtant lutter et te dĂ©fendre ; Si tu peux supporter d'entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d'entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-mĂȘme d'un mot ; Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšres, Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©diter, observer et connaĂźtre, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ; RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre, Penser sans n'ĂȘtre que penseur ; Si tu sais ĂȘtre dur, sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu sais ĂȘtre brave et jamais imprudent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage, Sans ĂȘtre moral et pĂ©dant ; Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et recevoir ces deux menteurs d'un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront, Alors les Rois les Dieux la Chance et la Victoire Seront Ă  tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut bien mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un homme mon fils ! Traduction AndrĂ© Maurois 1918
Tuseras un homme, mon fils. Sans un geste et sans un soupir. Pourtant lutter et te dĂ©fendre. Sans mentir toi-mĂȘme d’un mot. Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi. Penser, sans n’ĂȘtre qu’un penseur. Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant. Et recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front. Quand tous les autres la perdront.
Parce que je l’ai dans mes papiers d’identitĂ© depuis une bonne dizaine d’annĂ©es – merci papa – voici, pour le plaisir du partage le poĂšme de Rudyard KIPLING, Ă©crit en 1910. Si tu peux voir dĂ©truit l’ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebĂątir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’amour, Si tu peux ĂȘtre fort sans cesser d’ĂȘtre tendre, Et, te sentant haĂŻ, sans haĂŻr Ă  ton tour, Pourtant lutter et te dĂ©fendre ; Si tu peux supporter d’entendre tes paroles Travesties par des gueux pour exciter des sots, Et d’entendre mentir sur toi leurs bouches folles Sans mentir toi-mĂȘme d’un mot ; Si tu peux rester digne en Ă©tant populaire, Si tu peux rester peuple en conseillant les rois, Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre, Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©diter, observer et connaitre, Sans jamais devenir sceptique ou destructeur, RĂȘver, mais sans laisser ton rĂȘve ĂȘtre ton maitre, Penser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ; Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais imprudent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage, Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ; Si tu peux rencontrer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et recevoir ces deux menteurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conserver ton courage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront, Alors les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire Seront Ă  tout jamais tes esclaves soumis, Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire Tu seras un homme, mon fils. ∎ A chaque lecture, ma mĂȘme Ă©motion, le mĂȘme intĂ©rĂȘt, le mĂȘme voyage dans le passĂ© et futur. Lisez, relisez, il y a au moins une strophe qui vous appelle maintenant. Partagez lĂ  en commentaire. Prenez soin de vous, JĂ©rĂ©mie Source avec d’autres traductions Illustration et le texte original en anglais NB Lisez une belle adaptation, d’un autre genre » de ce poĂšme TU SERAS UNE FEMME, MA FILLE. PoĂšme Tu ne seras pas un homme mon fils., Guy BIAUJAUD. PoĂ©sie Française est Ă  la fois une anthologie de la poĂ©sie classique, du moyen-Ăąge au dĂ©but du XXĂšme siĂšcle, et Ă©galement un espace de visibilitĂ© pour l'internaute, amateur Ă©clairĂ© ou professionnel qui dĂ©sire y publier ses oeuvres Ă  titre gratuit. Ce poĂšme est cĂ©lĂšbre, ne serait-ce que par son titre.“Tu seras un Homme, mon fils”, bien qu’é­crit en 1910 par Rudyard Kipling, reste d’ac­tua­li­ sou­haite le par­ta­ger avec pas Ă  Ă©crire dans les com­men­taires, ce qu’il t’inspire. Tu seras un Homme, mon fils – Rudyard Kipling Si tu peux voir dĂ©truit l’ou­vrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre Ă  rebù­tir, Ou, perdre d’un seul coup le gain de cent par­ties Sans un geste et sans un soupir ; Si tu peux ĂȘtre amant sans ĂȘtre fou d’a­mour, Si tu peux ĂȘtre fort sans ces­ser d’ĂȘtre tendre Et, te sen­tant haĂŻ sans haĂŻr Ă  ton tour, Pour­tant lut­ter et te dĂ©fendre ; Si tu peux sup­por­ter d’en­tendre tes paroles Tra­ves­ties par des gueux pour exci­ter des sots, Et d’en­tendre men­tir sur toi leur bouche folle, Sans men­tir toi-mĂȘme d’un seul mot ; Si tu peux res­ter digne en Ă©tant popu­laire, Si tu peux res­ter peuple en conseillant les rois Et si tu peux aimer tous tes amis en frĂšre Sans qu’au­cun d’eux soit tout pour toi ; Si tu sais mĂ©di­ter, obser­ver et connaĂźtre Sans jamais deve­nir scep­tique ou des­truc­teur ; RĂȘver, mais sans lais­ser ton rĂȘve ĂȘtre ton maĂźtre, Pen­ser sans n’ĂȘtre qu’un penseur ; Si tu peux ĂȘtre dur sans jamais ĂȘtre en rage, Si tu peux ĂȘtre brave et jamais impru­dent, Si tu sais ĂȘtre bon, si tu sais ĂȘtre sage Sans ĂȘtre moral ni pĂ©dant ; Si tu peux ren­con­trer Triomphe aprĂšs DĂ©faite Et rece­voir ces deux men­teurs d’un mĂȘme front, Si tu peux conser­ver ton cou­rage et ta tĂȘte Quand tous les autres les perdront, Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Vic­toire Seront Ă  tout jamais tes esclaves sou­mis Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire, Tu seras un Homme, mon fils ! . 45 410 438 78 383 400 301 316

poĂšme tu seras un homme mon fils a imprimer