Timond'Athènes – Le Jour des Rois – Les deux gentilshommes de Vérone. Roméo et Juliette – Le Songe d'une nuit d'été – Tout est bien qui finit bien. PARIS À LA LIBRAIRIE ACADÉMIQUE DIDIER ET Cie, LIBRAIRES-ÉDITEURS 35, QUAI DES AUGUSTINS 1862 2
Le jourLa brise du matinSouffle au bout des paix se chatte allaiteLes petits de la rat devient regard hagardEt le papillon moroseSe posent sur la train repasseSur les mêmes rails belle toile!L'homme porte un nom,La femme porte un porte le deuil?La nuitLa neige sent bonEt sa blancheur devient de la poète reçoitLa gifle de l'aquilonEt le Haïku ville s'endortSous la lune du soleil s' pluie arroseLa tête du chien qui dortEt le rêve père et le filsRêvent encore de la mère est jalouse.
Jonathanla poésie de mes nuit et du jour. 47 J’aime · 1 en parlent. Auteur. Aller vers. Sections de cette Page. Aide accessibilité . Facebook. Adresse e-mail ou téléphone: Mot de passe: Informations de compte oubliées ? Accueil. Publications. Avis. Photos. À propos. Communauté. Voir plus de contenu de Jonathan la poésie de mes nuit et du jour sur Facebook. Se connecter.
46 poèmes <23456Phonétique Cliquez pour la liste complète éléis élidé élis élit élu éludé élue élues élus élut élût hâla hâlai hâlais hâlait hâlas hâlât hâle hâlé hâlée hâlées hâles hâlés héla hélai hélais hélait hélas hélât ... À M. Louis de Ronchaud I Regardez-les passer, ces couples éphémères ! Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment, Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières, Font le même serment Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent Avec étonnement entendent prononcer, Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent Et qui vont se glacer. Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur, Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse D'un instant de bonheur ? Amants, autour de vous une voix inflexible Crie à tout ce qui naît Aime et meurs ici-bas ! » La mort est implacable et le ciel insensible ; Vous n'échapperez pas. Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure, Forts de ce même amour dont vous vous enivrez Et perdus dans le sein de l'immense Nature, Aimez donc, et mourez ! II Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile Quand un charme invincible emporte le désir, Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile A frémi de plaisir. Notre serment sacré part d'une âme immortelle ; C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ; Nous entendons sa voix et le bruit de son aile Jusque dans nos transports. Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie Pâlir au firmament les astres radieux, Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie, Leur lien pour les cieux. Dans le ravissement d'une éternelle étreinte Ils passent entraînés, ces couples amoureux, Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte Un regard autour d'eux. Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ; Leur espoir est leur joie et leur appui divin ; Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe Leur pied heurte en chemin. Toi-même, quand tes bois abritent leur délire, Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers, Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire S'ils mouraient tout entiers ? Sous le voile léger de la beauté mortelle Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt, Le temps de l'entrevoir, de s'écrier C'est Elle ! » Et la perdre aussitôt, Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour. Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée Pour un être d'un jour ! Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles, Grand Dieu qui dois d'en haut tout entendre et tout voir, Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles Ne puissent t'émouvoir, Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre Tu dises Garde-les, leurs cris sont superflus. Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ; Tu ne les rendras plus ! » Mais non ! Dieu qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ; Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein. Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre, Va s'aimer dans ton sein. III Éternité de l'homme, illusion ! chimère ! Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain ! Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère, Il lui faut un demain ! Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés, Vous oubliez soudain la fange maternelle Et vos destins bornés. Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ? Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères En face du néant. Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. » La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles Luiront sur vos tombeaux. Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ; La fleur que vous brisez soupire avec ivresse Nous aussi nous aimons ! » Heureux, vous aspirez la grande âme invisible Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ; La Nature sourit, mais elle est insensible Que lui font vos bonheurs ? Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle, C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor. Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle, Et vous laisse la mort. Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ; Le reste est confondu dans un suprême oubli. Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître Son voeu s'est accompli. Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines, Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus, Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines Vous jettent éperdus ; Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas, Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre L'Infini dans vos bras ; Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims, Ces transports, c'est déjà l'Humanité future Qui s'agite en vos seins. Elle se dissoudra, cette argile légère Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ; Les vents vont disperser cette noble poussière Qui fut jadis un coeur. Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame De vos espoirs brisés, de vos amours éteints, Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme, Dans les âges lointains. Tous les êtres, formant une chaîne éternelle, Se passent, en courant, le flambeau de l'amour. Chacun rapidement prend la torche immortelle Et la rend à son tour. Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante, Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea, De la tenir toujours à votre main mourante Elle échappe déjà . Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ; Il aura sillonné votre vie un moment ; En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme Votre éblouissement. Et quand il régnerait au fond du ciel paisible Un être sans pitié qui contemplât souffrir, Si son oeil éternel considère, impassible, Le naître et le mourir, Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même, Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu ! Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime, Et pardonnez à Dieu ! L’Amour et la Mort Poèmes de Louise Ackermann Citations de Louise AckermannPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 1843 votesAlors j'avais quinze ans. Au sein des nuits sans voiles, Je m'arrêtais pour voir voyager les étoiles Et contemplais trembler, à l'horizon lointain, Des flots où leur clarté jouait jusqu'au matin. Un immense besoin de divine harmonie M'entraînait malgré moi vers la sphère infinie, Tant il est vrai qu'ici cet autre astre immortel, L'âme, gravite aussi vers un centre éternel. Mais, tandis que la nuit marchait au fond des cieux, Des pensers me venaient, graves, silencieux, D'avenir large et beau, de grande destinée, D'amour à naître encor, de mission donnée, Vague image, pour moi, pareille aux flots lointains De la brume où nageaient mes regards incertains. — Aujourd'hui tout est su ; la destinée austère N'a plus devant mes yeux d'ombre ni de mystère, Et la vie, avant même un lustre révolu, Garde à peine un feuillet qui n'ait pas été lu. Humble et fragile enfant, cachant en moi ma flamme, J'ai tout interrogé dans les choses de l'âme. L'amour, d'abord. Jamais, le coeur endolori, Je n'ai dit ce beau nom sans en avoir souri. Puis j'ai soudé la gloire, autre rêve enchanté, Dans l'être d'un moment instinct d'éternité ! Mais pour moi sur la terre, où l'âme s'est ternie, Tout s'imprégnait d'un goût d'amertume infinie. Alors, vers le Seigneur me retournant d'effroi, Comme un enfant en pleurs, j'osai crier Prends-moi ! Prends-moi, car j'ai besoin, par delà toute chose, D'un grand et saint espoir où mon coeur se repose, D'une idée où mon âme, à qui l'avenir ment, S'enferme et trouve enfin un terme à son tourment. »Élan mystique Poèmes de Louise AckermannCitations de Louise AckermannPlus sur ce poème Voter pour ce poème 208 votes<23456Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
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47 poèmes <45689Phonétique Cliquez pour la liste complète jar jard jarre jarres jarret jarreté jars jouer jouera jouerai jouerais jouerait joueras joueur joueurs jouir jouira jouirai jouirais jouirait jouiras jour jours Jura jura jurai jurais jurait juras ... Toutes les choses au hasard Tous les mots dits sans y penser Et qui sont pris comme ils sont dits Et nul n'y perd et nul n'y gagne Les sentiments à la dérive Et l'effort le plus quotidien Le vague souvenir des songes L'avenir en butte à demain Les mots coincés dans un enfer De roues usées de lignes mortes Les choses grises et semblables Les hommes tournant dans le vent Muscles voyants squelette intime Et la vapeur des sentiments Le coeur réglé comme un cercueil Les espoirs réduits à néant Tu es venue l'après-midi crevait la terre Et la terre et les hommes ont changé de sens Et je me suis trouvé réglé comme un aimant Réglé comme une vigne A l'infini notre chemin le but des autres Des abeilles volaient futures de leur miel Et j'ai multiplié mes désirs de lumière Pour en comprendre la raison Tu es venue j'étais très triste j'ai dit oui C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde Petite fille je t'aimais comme un garcon Ne peut aimer que son enfance Avec la force d'un passé très loin très pur Avec le feu d'une chanson sans fausse note La pierre intacte et le courant furtif du sang Dans la gorge et les lèvres Tu es venue le voeu de vivre avait un corps Il creusait la nuit lourde il caressait les ombres Pour dissoudre leur boue et fondre leurs glacons Comme un oeil qui voit clair L'herbe fine figeait le vol des hirondelles Et l'automne pesait dans le sac des ténèbres Tu es venue les rives libéraient le fleuve Pour le mener jusqu'à la mer Tu es venue plus haute au fond de ma douleur Que l'arbre séparé de la forêt sans air Et le cri du chagrin du doute s'est brisé Devant le jour de notre amour Gloire l'ombre et la honte ont cédé au soleil Le poids s'est allégé le fardeau s'est fait rire Gloire le souterrain est devenu sommet La misère s'est effacée La place d'habitude où je m'abêtissais Le couloir sans réveil l'impasse et la fatigue Se sont mis à briller d'un feu battant des mains L'éternité s'est dépliée O toi mon agitée et ma calme pensée Mon silence sonore et mon écho secret Mon aveugle voyante et ma vue dépassée Je n'ai plus eu que ta présence Tu m'as couvert de ta confiance. Dominique aujourd'hui présente Poèmes de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard Citations de Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul EluardPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 546 votesAlors Almitra dit, Parle-nous de l'Amour. Et il leva la tête et regarda le peuple assemblé, et le calme s'étendit sur eux. Et d'une voix forte il dit Quand l'amour vous fait signe, suivez le. Bien que ses voies soient dures et rudes. Et quand ses ailes vous enveloppent, cédez-lui. Bien que la lame cachée parmi ses plumes puisse vous blesser. Et quand il vous parle, croyez en lui. Bien que sa voix puisse briser vos rêves comme le vent du nord dévaste vos jardins. Car de même que l'amour vous couronne, il doit vous crucifier. De même qu'il vous fait croître, il vous élague. De même qu'il s'élève à votre hauteur et caresse vos branches les plus délicates qui frémissent au soleil, Ainsi il descendra jusqu'à vos racines et secouera leur emprise à la terre. Comme des gerbes de blé, il vous rassemble en lui. Il vous bat pour vous mettre à nu. Il vous tamise pour vous libérer de votre écorce. Il vous broie jusqu'à la blancheur. Il vous pétrit jusqu'à vous rendre souple. Et alors il vous expose à son feu sacré, afin que vous puissiez devenir le pain sacré du festin sacré de Dieu. Toutes ces choses, l'amour l'accomplira sur vous afin que vous puissiez connaître les secrets de votre cœur, et par cette connaissance devenir une parcelle du cœur de la Vie. Mais si, dans votre appréhension, vous ne cherchez que la paix de l'amour et le plaisir de l'amour. Alors il vaut mieux couvrir votre nudité et quitter le champ où l'amour vous moissonne, Pour le monde sans saisons où vous rirez, mais point de tous vos rires, et vous pleurerez, mais point de toutes vos larmes. L'amour ne donne que de lui-même, et ne prend que de lui-même. L'amour ne possède pas, ni ne veut être possédé. Car l'amour suffit à l'amour. Quand vous aimez, vous ne devriez pas dire, Dieu est dans mon cœur, mais plutôt, Je suis dans le cœur de Dieu. Et ne pensez pas que vous pouvez infléchir le cours de l'amour car l'amour, s'il vous en trouve digne, dirige votre cours. L'amour n'a d'autre désir que de s'accomplir. Mais si vous aimez et que vos besoins doivent avoir des désirs, qu'ils soient ainsi Fondre et couler comme le ruisseau qui chante sa mélodie à la nuit. Connaître la douleur de trop de tendresse. Etre blessé par votre propre compréhension de l'amour ; Et en saigner volontiers et dans la joie. Se réveiller à l'aube avec un cœur prêt à s'envoler et rendre grâce pour une nouvelle journée d'amour ; Se reposer au milieu du jour et méditer sur l'extase de l'amour ; Retourner en sa demeure au crépuscule avec gratitude ; Et alors s'endormir avec une prière pour le bien-aimé dans votre cœur et un chant de louanges sur vos Prophète L'amour Poèmes de Khalil GibranCitations de Khalil GibranPlus sur ce poème Commenter le poème Imprimer le poème Envoyer à un ami Voter pour ce poème 796 votes<45689Les poèmes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y ZLes poètes A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z
Jécris la nuit, j'écris le jour. Oasis des artistes: Poésie en ligne, Concours de poèmes en ligne -
BLOC NOTE LITTÉRAIRE par Chou Blanc La poésie inoxydable » Sans doute influencés par notre rubrique sur La légende de l’homme vert …… Dans la légende de l’homme vert Mémé Marthe disait en conclusion – Je te rappelle que le Bon Dieu est le créateur du ciel et de cette terre où la nature, n’est ni plus ni moins, que son habit du dimanche…. et l’homme vert son tailleur…! – » Alors Mémé, c’est du cousu main depuis des siècles et des siècles..! » ….. nos contributeurs sont venus engraisser La Chouette » de leurs contributions comme – Cette photo originale de cet arbre à figure humaine – Ce tableau de Jep Papy avec ces trois symboliques arbres dans la nuit et le jour…. frappés par une lumière céleste…. Pour être à la hauteur de leur participation, j’ai souhaité leur donner un texte de Jules Supervielle 1884-1960 qui était un poète et écrivain français né en Uruguay. Musique d’ambiance vous ne pouvez pas les écouter en même temps c’est dommage AU CŒUR DE L’ARBRE Chant d’oiseaux Arbres dans la nuit et le jour Candélabres de la noirceur, Hauts-commissaires des ténèbres, Malgré votre grandeur funèbre Arbres, mes frères et soeurs, Nous sommes de même famille, L?étrangeté se pousse en nous Jusqu’aux veinules, aux ramilles, Et nous comble de bout en bout. A vous la sève, à moi le sang, A vous la force, à moi l?accent Mais nuit et jour nous ressemblant, Régis par le suc du mystère, Offerts à la mort, au tonnerre, Vivant grand et petitement, L?infini qui nous désaltère Nous fait un même firmament. Nos racines sont souterraines, Notre front dans le ciel se perd Mais, tronc de bois ou cœur de chair, Nous n’avançons que dans nous-mêmes. L’angoisse nourrit notre histoire Et c’est un même bûcheron Qui, nous couchant de notre long, Viendra nous couper la mémoire. Jules Supervielle, poète français 1884-1960 PAPY VIDEO ET SON BONUS DU JOUR – PAPY SONG – – RADIO SYLVESTRE – Chou Blanc
Lejour émigre, poésie, Saint-Germain-des-Prés Chaillé-sous-les-Ormeaux, 1998, Anthologie poétique, 1974-1996, préface de Jean-François Grégoire et de Lucien Noullez (illustration de couverture de Benoît Hons ) Visage racinéant, éditions Rougerie, Mortemart, 1999, trente exemplaires de tête avec une gravure de Roger Bertemès ; Avec un livre sous le bras, éditions
Le jour, la nuit C’est le soleil Qui me réveille, Vive le soleil ! Il monte dans le ciel Jusqu’à midi... Et redescend Tout l’après-midi. On dit qu’il va se coucher De l’autre côté... Moi je sais déjà Qu’il ne se couche pas Le soleil éclaire L’autre côté de la Terre Là -bas c’est le jour, Ici c’est la nuit... Bonne nuit !
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illustration poesie le jour et la nuit