PoliceJustice "J'ai eu peur de mourir": la femme qui accuse Tariq Ramadan de viol en Suisse livre son témoignage . Le 09/09/2019 à 12 la femme qui accuse Tariq Ramadan de viol en Suisse Faits divers De nouveau sous le feu des projecteurs après l'agression de trois policiers, le quartier de la Guillotière n'est jamais mieux raconté que par ceux qui y habitent. Publié le 29 juillet 2022 à 9h48 Deux policiers en patrouille dans le quartier de la Guillotière, à Lyon. Photo © Bony/SIPA On a beaucoup parlé de l’agression de trois policiers à Lyon Rhône, le 20 juillet dernier. Un fait-divers très médiatisé… mais malheureusement banal dans le quartier de la Guillotière. A tel point, relate Le Figaro, que la scène s’est presque reproduite à l’identique quelques jours plus tard, forçant trois policiers à faire usage d’une grenade de lacrymogène pour se dégager. Moins de quinze minutes plus tard, une autre interpellation dégénère à quelques centaines de mètres de là menacée par plusieurs dizaines d’individus alors qu’elle tentait d’arrêter un voleur de carte bleue, une patrouille est obligée de tirer une grenade de LIRE Lyon un groupe antifasciste dénonce l’occupation coloniale » de la Guillotière par la police La violence a atteint son paroxysme », ne peut que constater Hervé Redon, secrétaire départemental du syndicat de police Alliance. Le policier, en poste dans le quartier depuis des dizaines d’années, évoque une situation qui s’est très largement détériorée. Dans les années 80, raconte-t-il, la délinquance était déjà un vrai sujet à la Guillotière. Mais lorsque la police intervenait, tout le monde ne se retournait pas contre nous », se souvient le vieux policier, qui prendra sa retraite dans trois ans. Il y avait un respect de l’institution. Aujourd’hui la police dérange. » D’électeurs de gauche à sous-marin du RN » Cette aggravation de la situation, Nathalie et Fred peuvent en attester. Le couple s’est installé dans le quartier à l’été 1992. Electeurs de gauche, ils se réjouissent de poser leurs valises dans un quartier populaire. C’était un joyeux bordel sic, un quartier mixte avec une vie locale riche », raconte Nathalie au Figaro. Depuis, tous deux ont cependant déchanté. Ce qui n’était qu’un léger désordre est devenu un enfer trafic de drogue, violence omniprésente, agressions, vols, insalubrité, etc. Leur fils, devenu sapeur-pompier, est un jour la cible d’une agression. Écœuré, il décide de quitter la LIRE La maire écologiste du 7e arrondissement de Lyon nie l’insécurité à la Guillotière En 2019, le couple décide de créer le collectif la Guillotière en colère » 400 familles y adhèrent, preuve de l’unanimité qui règne autour de la place Gabriel-Péri. Une décision prise dans la foulée de la finale de la Coupe d’Afrique des nations effarés, Fred et Nathalie assistent aux affrontements ultra-violents entre supporters sénégalais et algériens. C’est là qu’on a compris que quelque chose n’allait pas. Le mélange était en train de disparaître », expliquent-ils au Figaro. Hélas, même si de nombreux riverains les soutiennent, le couple de gauche est désormais souvent traité de sous-marin du RN » ou de polémiste facho ». De guerre lasse et face à l’inaction des pouvoirs publics, Fred et Nathalie mettent fin à leur collectif en juillet 2022. Quelques jours, à peine, avant l’agression des policiers…A LIRE [Vidéo] Lyon des policiers tabassés à coups de barres de fer par des racailles à la Guillotière, deux blessés La police très mobilisée Pourtant, souligne Le Figaro, on ne peut pas dire que la police ménage ses efforts. La police municipale et les CRS patrouillent tous les jours. En février dernier, une brigade sécurisée de terrain BST a même spécifiquement été créée pour la Guillotière forte de 31 hommes expérimentés, elle participe aux activités de maintien de l’ordre. Le bilan statistique n’en est que plus impressionnant en une journée, les forces de l’ordre procèdent à 120 contrôles et 25 interpellations – six pour trafic ou usage de stupéfiants, sept pour violences et une grosse dizaine pour présence illégale sur le territoire national. Que Dieu vous bénisse, comme ça le quartier sera tranquille ! », déclare même une habitante voilée aux policiers qu’elle croise dans la rue. Pour accéder aux espoirs de cette riveraine, la mobilisation de la police semble malheureusement insuffisante. Selon Le Figaro, la plupart des acteurs s’accordent à pointer du doigt les défaillances de la mairie écologiste – même s’il n’a pas fallu attendre 2020 pour s’inquiéter, loin s’en faut. Reste qu’avec Grégory Doucet à sa tête, la mairie semble déterminée à ne proposer que des solutions risibles », sinon parfaitement caricaturales des urinoirs répandant une odeur nauséabonde dans tout le quartier, des bacs de composts inutiles, un réseau de chuteurs » censé éviter le tapage nocturne mais parfaitement inefficace, des espaces piétons pour familles squattés par des fumeurs de joint, etc. Dernière innovation en date une maison des projets pensée pour mettre en avant les initiatives locales. En inaugurant le bâtiment, au début du mois de juillet, Grégory Doucet avait pris soin de dénoncer une mise en avant de la délinquance et de la criminalité plutôt que de ce qui fait le quotidien du quartier ». Le sens des priorités.
\n livrer son témoignage à la police
Traductionde "livrer son témoignage" en anglais. livrer. deliver give indulge surrender supply. son témoignage. his testimony her testimony his evidence her evidence his
Suite aux événements qui ont eu lieu vendredi soir à Trappes, le collectif contre l’islamophobie en France CCIF publie le témoignage de la jeune mère de famille, arrêtée ainsi que son époux, après un contrôle de police qui a mal tourné. Je fais appel à vous car j’ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrôler à cause de mon voile intégral. Comme d’habitude, j’ai coopéré. J’allais lever mon voile lorsque j’ai vu l’un des agents pousser violemment ma mère. J’ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derrière, que ça n’allait pas se passer comme ça, qu’il ne fallait pas toucher à ma mère qui n’a rien a voir avec le contrôle, sachant que elle était devant nous. L’un des agents s’est alors énervé sur mon mari, juste parce qu’il a dit, à propos de ma maman Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu’elle n’a rien à voir avec le contrôle ? » Le policier a alors dit a mon mari, de manière très agressive et en bombant le torse Tu vas faire quoi ? ». Je me suis interposée entre eux pour ne pas que ça dégénère. Une fois que le policier en a fini avec ma mère, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. Apeurée, je lui ai demandé de se taire. Il m’a alors attrapée par le voile au niveau de la tête et traînée avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant C’est à moi que tu parles ? C’est à moi que tu parles, hein ? » Je me suis retournée, puis j’ai aperçu mon mari maintenu à terre par deux policiers qui le menottaient. Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on était des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant Qu’est-ce que tu vas faire maintenant p’tite tafiole, hein ? , tout cela avec les poings serrés et en donnant des coups, dans la voiture. Une fois arrivés au commissariat, les agents m’insultent de fantôme. Je ne cesse pas de demander à Dieu de l’aide contre cette violence. Le CCIF, qui dénonce la violence » et les provocations policières », annonce que l’époux de la jeune femme doit être jugé en comparution immédiate demain matin ». Confirmant une information que nous avons pu recueillir quelques heures après les échauffourées, le CCIF précise que plusieurs habitants de Trappes, qui s’étaient rendues au commissariat pour tenter d’apaiser la situation ont été congédiées sans ménagement ». Et d’appeler la police nationale à remplir sa mission de protection de la population plutôt de l’agresser ». Appel à témoins Le CCIF lance un appel à témoins. Nous lançons également un appel à témoins Si vous avez assisté aux scènes de violences ou si vous avez des informations vidéos, témoignages, … qui permettront de mettre en lumière les responsabilités dans cette affaire, merci de nous écrire à [email protected] afin que les agresseurs ne restent pas impunis et que la victime ne se retrouve pas, comme c’est le cas dans plusieurs autres affaires où la responsabilité de la police est en cause, sur le banc des accusés. »

Cettedernière répondit qu'elle ne voulait pas que la police voit les photos où elle pose nue et que ce n'était nullement pour cacher certains messages. Et quand le procureur a demandé à la victime comment elle sentait Benjamin Mendy dans la salle de bain, celle-ci répondait qu'il était "hors de contrôle". "J’ai répété stop et non

128 Copié Europe 1 avec AFP 20h16, le 08 avril 2022Au procès du 13-Novembre, une témoin qualifiée de "providentielle", "Sonia", a raconté vendredi comment elle avait, au péril de sa vie, dénoncé à la police le chef opérationnel des attentats, un "sacrifice lourd" mais qu'elle "ne regrette pas". Son témoignage crucial avait permis de localiser Abdelhamid se souvient encore du "regard froid" et "inhumain" d'Abdelhamid Abaaoud au procès du 13-Novembre, "Sonia" a raconté vendredi comment elle avait, au péril de sa vie, dénoncé à la police le chef opérationnel des attentats, un "sacrifice lourd" mais qu'elle "ne regrette pas". Visage flouté, voix modifiée, c'est un spectre qui apparaît sur les écrans de la cour d'assises spéciale de témoignage a permis de localiser Abaaoud"Sonia" dit avoir "48 ans", être "agent". Témoin protégé, elle a changé d'identité et de vie depuis son témoignage crucial, "providentiel" selon un enquêteur, qui a permis de localiser Abdelhamid Abaaoud, en fuite après avoir mitraillé les terrasses parisiennes, et d'éviter de nouveaux attentats. "Ennemi public numéro un", traqué, le chef opérationnel des commandos de Paris et Saint-Denis sera tué dans un assaut policier le 18 novembre de six ans après, "Sonia" décrit à la cour cette soirée, au surlendemain des attentats qui ont fait 130 morts, où elle a croisé la route d'Abdelhamid Abaaoud, terré dans un buisson à Aubervilliers, le long de l'autoroute A86. Elle accompagne une jeune femme paumée et instable qu'elle a pris sous son aile et qu'elle héberge, Hasna Aït Boulahcen. Elle devait juste aller récupérer "son cousin de 17 ans qui a des problèmes", mais se retrouve face à Abdelhamid Abaaoud, figure française du jihadisme censée être en était là "pour terminer ce qu'il a commencé""Il est là, en face de moi. ... Il m'a serré la main, ce que je regrette", déclare "Sonia", qui en fait encore "des cauchemars". Il se présente, elle lui demande s'il a participé aux attentats. "Il me répond 'Ouais, les terrasses, c'est moi'", rapporte la témoin-clé. Il assure "qu'il est là pour terminer ce qu'il a commencé"."Je lui dis qu'il a tué des innocents, que l'islam ce n'est pas ça", affirme la mère de famille. Elle rentre chez elle et le lendemain, le 16 novembre, elle attend que Hasna Aït Boulahcen quitte son domicile pour appeler le numéro vert mis en place par la police. "J'ai expliqué qui j'avais rencontré, on ne m'a pas crue", déplore "Sonia".Une description détaillée d'AbaaoudElle est convoquée dans la soirée et livre beaucoup d'éléments, une description physique du jihadiste, le fait qu'il porte un blouson, un "bob couleur crème" et des "baskets orange", repérées sur la vidéosurveillance du métro et seulement connues des enquêteurs. Pour eux, "la prudence reste de mise", indique un commissaire également entendu comme témoin vendredi, ancien adjoint à la sous-direction antiterroriste Sdat de la police Abdelhamid Abaaoud, "cible numéro une" du renseignement européen est bien en France, ce serait "un cataclysme", explique l'enquêteur. Il se pourrait aussi que ce soit "un guet-apens de l'Etat islamique EI". Des surveillances se mettent en place, notamment à proximité du "buisson conspiratif" d'Aubervilliers, et "Sonia" continue de donner des informations à la police antiterroriste, obtenues de Hasna Aït nouveaux attentats étaient prévus quelques jours aprèsCette dernière est mandatée pour trouver un logement à son cousin, et des "costumes" pour de nouveaux attentats prévus dans le quartier de la Défense, le 19 novembre, visant "un centre commercial, un commissariat". "Je n'aurais pas pu laisser faire ça", souligne "Sonia" d'une voix métallique. Le 18 novembre 2015 avant l'aube, le Raid lance l'assaut dans l'appartement de Saint-Denis où Abdelhamid Abaaoud s'est retranché avec son complice Chakib Akrouh, autre survivant du commando des terrasses, et Hasna Aït Boulahcen. Tous trois décèdent."Sonia" passe elle "quarante-huit heures en garde à vue". Puis elle est remise en liberté et sera prise en charge par un service spécialisé du ministère de l'Intérieur. En février 2016, elle avait donné une interview dans laquelle elle se disait "abandonnée" par l'Etat. Elle a bénéficié quelques mois plus tard d'un nouveau statut, devenant la première "témoin protégée" en France. Son témoignage lui a "coûté cher, très cher", aussi bien pour elle que pour ses enfants et son compagnon, dit-elle à la cour. "C'est un sacrifice qui est lourd", mais "je ne regrette pas ce que j'ai fait, je ne le regretterai jamais". Avant de suspendre l'audience, le président de la cour, Jean-Louis Périès, "salue son geste courageux". "Ça a permis d'éviter d'autres attentats", pointe le magistrat.
Unhomme abattu par la police ce mercredi matin à Roissy. « Un policier de la police aux frontières (PAF) a fait usage de son arme à l’encontre d’un individu a priori SDF qui était en

Inès était présente à l'arrière de la voiture visée par les policiers samedi dans le 18e arrondissement de Paris. La jeune femme de 21 ans livre son témoignage à franceinfo. Si elle reconnaît que le conducteur était "en tort", Inès reste convaincue que les policiers n'ont "pas su garder la tête froide".Un témoignage exclusif dans l'affaire du refus d'obtempérer samedi 4 juin, dans le 18e arrondissement de Paris. Inès, la passagère arrière de la voiture visée par des tirs de policiers livre son récit, mercredi 8 juin, à franceinfo. "Je suis en colère parce que les policiers auraient pu faire autre chose", confie cette jeune femme de 21 ans, étudiante pour devenir esthéticienne. Son amie Rayana, passagère avant du véhicule, a été tuée d'au moins une balle dans la tête. Elle avait 21 ans. Le conducteur, âgé lui de 38 ans, a été grièvement blessé au thorax. Les deux jeunes femmes ne connaissaient pas le conducteur et son ami. Ils s'étaient rencontrés quelques instants auparavant lors d'une soirée dans le quartier Pigalle à Paris. >> Paris ce que l'on sait de la mort de la passagère d'une voiture, tuée par balle par des policiers dénonçant un refus d'obtempérer Si les trois policiers, entendus pendant 48 heures en garde à vue, sont ressortis libres, une information judiciaire a néanmoins été ouverte mardi à leur encontre. L'avocat des policiers, Laurent-Franck Liénard, affirme sur franceinfo que le témoignage d'Inès "n'est pas conforme aux éléments objectifs du dossier", notamment des vidéos "dans lesquelles on entent parfaitement les injonctions et les sommations", dit-il. Des témoignages recueillis par franceinfo avant celui d'Inès contredisent la version des forces de l'ordre, et assurent que le conducteur n'a pas "démarré en trombe". franceinfo Pouvez-vous nous raconter ce qui s'est passé samedi ? Inès J'étais avec mon amie Rayana, une copine très proche. On a décidé de sortir vers 6 heures du matin en "after" sur Pigalle. On était avec des amis qui sont rentrés un petit peu avant nous, donc on est restées avec leurs amis. On n'avait plus assez d'espèces pour rentrer. Ils ont proposé de nous raccompagner. On a mis l'adresse de Rayana en premier dans le GPS. Au niveau de Clignancourt, trois policiers à vélo ont toqué à la vitre du conducteur parce qu'il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Il n'a pas voulu baisser sa vitre. Il a accéléré et s'est arrêté 30, 40 mètres plus loin à cause de la circulation. Il y avait notamment un bus devant nous. Quand on lui dit de s'arrêter, il nous répond qu'il n'a pas le permis. Il est un peu paniqué, un peu stressé et je vois deux policiers se mettre au niveau des vitres, devant. Tout est allé très vite. Je n'ai même pas entendu "Sortez de la voiture" ou "Mains en l'air". Ils ont cassé les vitres en tapant avec leurs armes. La scène était très violente. Le conducteur n'a même pas eu le temps d'enlever les mains du volant. "On a entendu des coups de feu, la voiture qui repart. Tout cela s'est passé en même temps. La voiture n'est pas d'abord partie et ensuite ils ont tiré, c'est en même temps." Ils ont dû tirer une dizaine de coups de feu, ça a duré longtemps. Que s'est-il passé ensuite ? Ensuite, le conducteur a avancé, brutalement cette fois, il a foncé dans une camionnette blanche, ce qui l'a arrêté. On lui a dit "Abandonne la voiture, laisse-nous, c'est entre toi et eux, nous, on est des victimes". On lui a dit "Il faut que vraiment tu nous laisses". Il est parti en courant. J'ai cru que ma copine Rayana, qui était sur le siège devant moi, était tombée dans les pommes. J'ai essayé de l'appeler plusieurs fois en criant son prénom à voix haute. Son corps était lâche. C'est là que j'ai vu son cou rempli de sang. Je n'ai même pas eu le temps de bien réaliser et de la prendre dans mes bras. La police est arrivée derrière nous. Ils nous ont braqués en disant "Mains en l'air, mains sur la tête", ce qu'ils auraient dû dire la première fois pour nous laisser une chance, peut-être, de sortir. Ils auraient pu essayer de nous protéger et d'arrêter le conducteur. "On était en état de choc, on criait. C'est là que j'ai réalisé que Rayana avait pris une balle. Les policiers n'étaient même pas vraiment coopératifs avec nous, sans nous demander si on allait bien." Ils nous ont fait sortir de la voiture. Ils nous ont menottés. Ils nous ont laissé sur un coin de la scène, plus de trois heures en plein soleil, devant la foule. On ne nous a pas laissés voir de médecin. Quels sentiments éprouvez-vous ? Je suis en colère parce que les policiers auraient pu faire autre chose. La personne est en tort, mais ils n'étaient pas obligés de tirer directement. En venir à tirer sur quelqu'un, surtout lui tirer dans la tête, c'est en dernier recours. Il y avait des bouchons, la circulation, le véhicule ne pouvait pas aller bien loin. Le conducteur est en tort, il est tout à fait en tort, mais quand il a fait sa course-poursuite, il n'a tué personne. Personne dans la rue n'a été blessé ou renversé. J'ai perdu une amie devant moi. C'est triste également pour sa famille, ses amis. Maintenant on va se battre pour la justice. De nombreux responsables politiques se sont emparés de ce dossier. Est-ce important pour vous ? Etait-ce nécessaire ? C'est bien que cette affaire prenne une tournure politique. Cette histoire-là, il faut qu'on en parle. Le plus important c'est qu'il y ait des gens de notre côté qui comprennent qu'on n'était pas obligé d'en arriver là. Ça montre qu'on est soutenus. Moi, je ne connaissais pas le conducteur, mais je pense que cela peut arriver à tout le monde d'avoir un coup de stress. "Si on mettait une balle dans la tête à tous les gens qui refusent d'obtempérer, je pense qu'on tuerait beaucoup de gens chaque année." Il était 10h30 en plein Paris. Il y avait d'autres gens dans la rue, des enfants notamment. Un enfant, une mère de famille, n'importe qui aurait pu prendre une balle perdue. Les policiers n'ont pas pensé à ça. Ils n'ont juste pas su garder la tête froide. Ils ont perdu le contrôle. Quand on porte un insigne, on est censé garder la tête froide au maximum. Que vous inspire le fait que les policiers soient ressortis libres de garde à vue ? Quand j'ai appris que les policiers ressortaient libres de leur garde à vue, j'étais assez nerveuse quand même. Maintenant, je peux comprendre que toute cette affaire se jouera plus tard. C'est une juge qui décidera. Pour l'instant, les policiers sont sortis, c'est comme ça. On ne peut pas faire autrement. Il y aura une enquête qui sera faite. On n'a pas le choix. On ne peut pas faire justice nous-mêmes. On ne peut pas aller dénigrer les gens, ça se réglera dans un tribunal. On est là pour Rayana et c'est pour elle qu'on se bat. C'était une bonne personne. Elle n'avait que 21 ans. Elle avait une famille. Elle était belle. C'était quelqu'un qui souriait tout le temps. C'est une victime dans l'histoire. Elle ne méritait pas tout ça. Avec la famille et les amis de Rayana la jeune fille tuée, Inès a créé un compte instagram baptisé justicepourrayana dans l'espoir de fédérer des soutiens à leur cause. DOCUMENT FRANCEINFO. Le témoignage d'Inès, passagère rescapée de la voiture visée par des tirs de policiers, au micro de Mathilde Lemaire écouter

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